Un des grands charmes de San Francisco pour qui a le goût de la balade à pied, ce sont les week-ends sur les sentiers en pleine nature tout proches de la ville ; le massif du Tamalpais, le skyline au sud d'Half moon bay, le pays des vins.
A en croire les avertissements, la chose ne serait pas sans risque....
Le plus "présent" dans les esprits est sans doute le cougar (ou mountain-lion) dans les collines du Sud qui fait qu'on interdit aux jeunes enfants de courir devant et on retient son chien en laisse (voire les chats sur le pas de la porte des maisons isolées!) pour ne pas avoir les honneurs du Chronicle...
Ceci dit, de mon point de vue, il faut surtout voir dans ces pancartes alarmistes l'hyperprincipe de précaution de nos amis américains (celui qui fait afficher sur les chemins du Lava beds National Park : "Attention , vous entrez dans un tunnel, quittez vos lunettes de soleil"!) Pour ma part, pendant toutes ces années, je n'ai vu qu'un rattle-snake (serpent à sonnettes), pas de coyote, pas de mountain-cat non plus!
Alors... enjoy!
Photo Catherine Delfino
Saturday, March 28, 2009
Saturday, March 21, 2009
Comme une histoire d'amour...
Photo M. Garmier
A l'ouest du Ferry Building sur la promenade, des citations célèbres concernant la ville ... Celle-ci est ma préférée...
"Quitter San Francisco, c'est comme dire au revoir à un amour de jeunesse, on a envie de s'attarder..."
Et ce n'est pas seulement quand on part... On se demande quand on la reverra.. Quand la date est fixée, elle paraît toujours trop lointaine. On attend des nouvelles, des amis, du site en ligne du Chronicle (ne jamais dire le San Francisco Chronicle, c'est LE Chronicle), enfin... tant qu'il survit.
En cette période de crise, certes, on suit de loin par la presse, les nouvelles - mauvaises - comme la fermeture de Melvyn ou le taux de chômage, mais on n'a pas d'image . De la crise de 1992, il reste dans la tête ces vitrines tapissées de "sale 70% " et ce col blanc qui jouait de l'harmonica sur Market, devenu en moins d'un mois un SDF ; de celle de 2000, après l'éclatement de la bulle internet, la 280 presque vidée de ses voitures et des constructions inachevées partout....
On compte les jours pour y retourner et en même temps on se demande ce qu'on va trouver...
A l'ouest du Ferry Building sur la promenade, des citations célèbres concernant la ville ... Celle-ci est ma préférée...
"Quitter San Francisco, c'est comme dire au revoir à un amour de jeunesse, on a envie de s'attarder..."
Et ce n'est pas seulement quand on part... On se demande quand on la reverra.. Quand la date est fixée, elle paraît toujours trop lointaine. On attend des nouvelles, des amis, du site en ligne du Chronicle (ne jamais dire le San Francisco Chronicle, c'est LE Chronicle), enfin... tant qu'il survit.
En cette période de crise, certes, on suit de loin par la presse, les nouvelles - mauvaises - comme la fermeture de Melvyn ou le taux de chômage, mais on n'a pas d'image . De la crise de 1992, il reste dans la tête ces vitrines tapissées de "sale 70% " et ce col blanc qui jouait de l'harmonica sur Market, devenu en moins d'un mois un SDF ; de celle de 2000, après l'éclatement de la bulle internet, la 280 presque vidée de ses voitures et des constructions inachevées partout....
On compte les jours pour y retourner et en même temps on se demande ce qu'on va trouver...
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