Photo M. Garmier
A l'ouest du Ferry Building sur la promenade, des citations célèbres concernant la ville ... Celle-ci est ma préférée...
"Quitter San Francisco, c'est comme dire au revoir à un amour de jeunesse, on a envie de s'attarder..."
Et ce n'est pas seulement quand on part... On se demande quand on la reverra.. Quand la date est fixée, elle paraît toujours trop lointaine. On attend des nouvelles, des amis, du site en ligne du Chronicle (ne jamais dire le San Francisco Chronicle, c'est LE Chronicle), enfin... tant qu'il survit.
En cette période de crise, certes, on suit de loin par la presse, les nouvelles - mauvaises - comme la fermeture de Melvyn ou le taux de chômage, mais on n'a pas d'image . De la crise de 1992, il reste dans la tête ces vitrines tapissées de "sale 70% " et ce col blanc qui jouait de l'harmonica sur Market, devenu en moins d'un mois un SDF ; de celle de 2000, après l'éclatement de la bulle internet, la 280 presque vidée de ses voitures et des constructions inachevées partout....
On compte les jours pour y retourner et en même temps on se demande ce qu'on va trouver...
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